Un morceau de ma vie.

je voulais partager un moment de ma vie avec vous pour montrez que l'on peut toujours s'en sortir tout dépend de la volonté et que le plus dur et de se rendre compte que l'on peut changer pour une vie meilleur (en tout cas dans ces cas la)

Cette histoire je l'ai vécue mais je rien ne se rapproche à cette personne car elle veut garder l'anonymat ce qui peut se comprendre. Bien sur certains éléments on été changé mais dans l'ensemble, l'histoire et les textes sont les mêmes.

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Citation :

Un soir, mon téléphone sonna, c’était lui qui m’appelait en pleur en me disant que rien n’allait et qu’il voulait s’en sortir. Je lui dis expressément de venir me rejoindre à la maison pour que l’on puisse en discuter.

Une fois arriver, il me dis qu’il s’était rendus compte qu’il était alcoolique et en moi-même je me dis « il était temps » mais bon vaut mieux tard que jamais. A de moment la il me raconta son histoire et je vais maintenant vous la compté.


Ses paroles :
J’ai commencé à boire à l’age de 14 ans quand mon père est mort, au début c’était une verre tous les jours, en tout cas jusqu’à mes 19 ans mais ensuite je ne me contentais plus d’un verre mais de deux voir trois et même plus, tout ça dépendais des jours. Je rencontras ma femme dans un café qui buvait aussi comme moi et la je me suis dis qu’elle n’était pas alcoolique vus qu’elle buvait autant que moi et je ne l’était pas. Les années passèrent et nous eûmes une petite fille, une fois qu’elle est née je ne voyais plus que par elle, je ne pouvais que l’adorer car c’était la seul chose de bien que j’avais fais dans ma vie.

Mais un beau jour, tout bascula, ma femme me dit un soir qu’elle me quittait et partis avec la petite en me traitant d’alcoolique. Après cela tout a commencé à chavirer en commençant par le juge de paix qui émit comme verdict que je ne pouvais plus voir ma fille. L’horreur mais je ne me rendais pas compte du pourquoi.

Alors maintenant ma fille enlevée, seul à la maison, je me retrouve seul et je noie mon chagrin dans l’alcool sans même m’en rendre compte.

Jusqu’au jour ou… je me réveilla vers dix heures du soir surpris de voir la bouteilles d’éther dans ma mains et c’est à ce moment la que je me suis rendus compte que j’avais un problème, j’étais alcoolique.


Revenons au présent maintenant, il venait de me déballer toutes ça vie en pleurant mais que pouvais-je faire, sur le coup j’était pris au dépourvus et un silence s’installa pendant plus d’un quart d’heure quand tout d’un coup j’eu une idée mais il devait me donner sont avis. Alors je lui expliquai mon idée.


Mon idée :
Si tu veux je suis prêt à t’aider tant que tu feras un effort de ton coté. Tout d’abord on vas prendre rendez vous avec un médecin pour voir ce qu’il y à lieu de faire et bien sur t’inscrire au alcoolique anonyme.

Il fut tout de suite d’accord avec cette idée et le lendemain nous voila chez le médecin qui donna beaucoup de conseil mais refusa de donner tel ou tel médicament prétextant qu’il avait assez de volonté pour réussir et que d’avoir pris la décision d’aller chez les alcoolique anonyme était le début de la réussite.

Une fois rentrer, je téléphona moi-même et on me répondis qu’il y avait une réunions lundi soir et qu’il pouvait se présentez sans problème et que personne ne le jugerais.
Mais une fois raccrochez il me dis « viens avec moi s’il te plait ». Bien sur pour moi pas de problème mais je sais que ces réunions sont assez strictes en matière à des visiteurs.

Nous voila arrivés le lundi soir, je l’accompagna quand même jusque la et nous allâmes demandez si je pouvais restez à ses cotés, on me répondis tout de suite « si il le désire pour réussir vous pouvez rester mais bien sur tout ce que vous entendrez ou verrez sur certaines personnes ne peuvent pas sortir d’ici » bien sur j’étais d’accord avec cela.

Tout c’était bien déroulé le lendemain j’allais faire les courses avec lui et nous voila arrivés dans le rayons des bières, il s’arrêta hésitant. Aie, que vas t’il faire. Hé bien il à prix un pack de six bières sans alcool.

Une fois rentrer je lui dis quand même de faire attention car la bière appel la bière et qu’il risque de reprendre de l’alcoolisé et il me répondis tout naturellement « fais moi confiance ».

Cela fait 4 ans que cela sait passé, il à récupérer la garde complète de sa fille qui ne peux plus voir sa mère car elle est alcoolique, il à un boulot super de cadre dans une société et le plus beau, vous vous souvenez de ce fameux pack de six bière sans alcool, et bien il en reste deux avec la date marqué dessus dans son frigos.

Maintenant il peut dire qu’il a réussis à surmonter le plus dur et plus jamais il ne touchera à l’alcool, il refuse même les pralines, l’alcool est devenu le plus grand de ses cauchemars.

le tout, c'est qu'il ne replonge pas.
C'est peut être dur ce que je vais dire ici mais un alcoolique reste un alcoolique toute savie, comme un fumeur le reste, comme un drogué le reste.
Au moindre dérapage, il peut replonger.
J'espère de tout coeur que non mais rien n'est jamais sur avec ce genre de "maladie"
J'ai un cas personnel peut être à exposer vis a vis de cette situation.
Une personne de ma famille est alcoolique, une personne que j'aime énormément.
Cette personne, du à l'alcool, a eu plusieurs accidents de voiture, et s'en est toujours sortis avec de petites égratignures, merci à sa bonne étoile.
UN jour apres son dernier accident cette personne a décidé d'arrêter de boire. PAs facile quand on sait qu'avant, sans une bière au levé, cette personne était en état de manque !

L'année qui a suivi sa décision, cette personne n'a pas bu une seule goutte d'alcool, bien qu'entouré d'amis qui ne se privaient pas de boire devant en sa présence. Dur dur quand même de résister dans ces circonstances.

L'année suivante, l'idée lui vint que se permettre une cuite par an à un moment choisi n'était pas de mauvaise augure et que ce n'est paspour cela que l'alcoolisme reviendrait.
c'est donc au carnaval du village que cette déision fu prise...Whisky coca...une jolie cuite...qui a terminé en bagarre...mais juste pour cette occasion...plus d'alcool apres.

L'année dernière, cette personne a perdu sa maman (qui comptais énormément pour moi aussi)
Un dur traumatisme et le jour de l'enterrement, une cuite...une le lendemain pour oublier...puis quelques semaines sans rien mais un manque qui se faisait sentir...et qui revenait.
Je voyais cette personne dépérir petit a petit, maigrir, se transformer en fantome humain.
10 kg de perdus, et l'alcool revenu, une malnutrition...
J'ai menacé cette personne en lui disant que si c'était de nouveau pour revoir des états dans lequel je pouvais voir avant, je ne voulais plus de ses nouvelles, j'étais trop triste qu'après ce combat, il y ait un tel laissé aller.

Aujourd'hui, cette personne se bat contre ses vieux démons!!!!!

mais je voulais juste souligner en racontant mon histoire, enfin pas la mienne, celle de cette personne, qu'il y a toujours, ou plutot souvent, un moment ou on risque de replonger...il faut toujours du soutien !!!!!

Courage